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Before the three-month course with AFRIUNI, my understanding of participatory action research (PAR) was quite limited. Initially, I thought it was primarily about conducting research on others concerning a specific topic, much like sociological research involving fieldwork and data collection. I did not realize that at its core, PAR is driven by curiosity and collaboration. I expected to gain knowledge and hands-on experience in the research domain. However, what I discovered was so much more enriching.

In terms of preparation, I did not do anything special. Essentially, I mentally readied myself to be part of the research, eager to learn and contribute. The training I received was priceless, as it not only covered methodology but also fostered a sense of curiosity. The sessions encouraged me to ask more questions and to delve deeper into the topics we explored.

I participated in the research as a co-researcher. Our opinions were valued in every class, and we contributed our experiences from school to the research process. This inclusive approach made me feel like an integral part of the team and, subsequently, enhanced my engagement.

This was my first experience with PAR, and it wasn’t without its challenges. Initially, approaching the community was difficult because they were aware that we needed information from them. Moreover, gaining access to information from the school administration was a significant hurdle. Additionally, taking pictures or videos of the school was nearly impossible, adding another layer of difficulty.

One of the most valuable lessons I learned was the importance of curiosity. This experience developed my critical thinking skills and taught me to dig deeper. Furthermore, I learned the importance of teamwork and the value of listening to others’ opinions.

The relationship between the researchers and participants was built on respect and professionalism. There was a sense of mutual love and understanding that facilitated smooth collaboration. Working as part of a team in this context was a rewarding experience, as everyone’s contributions were valued and integrated into the research.

The most rewarding aspect of the PAR process was seeing how our collective efforts made a difference. One particularly significant moment was when community members expressed their appreciation for having a platform to voice their concerns and aspirations. This affirmation underscored the impact of our work.

The biggest challenges included gaining trust from the community, accessing information from the school administration, and the limitations on taking visual documentation. We addressed these challenges through persistent communication and by building strong, respectful relationships with the community.

In conclusion, summarizing my experience with PAR, it has been transformative. It broadened my perspective on research and community engagement, highlighting the power of collaboration and the importance of inclusivity in creating sustainable change. This journey has reinforced my belief in the importance of curiosity and critical thinking in the research process, making me eager to engage in future participatory action research projects.

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Avant le cours de trois mois avec AFRIUNI, ma compréhension de la recherche-action participative (RAP) était assez limitée. Au départ, je pensais qu’il s’agissait principalement de mener des recherches sur d’autres personnes concernant un sujet spécifique, à l’instar de la recherche sociologique qui implique un travail sur le terrain et la collecte de données. Je n’avais pas réalisé qu’à la base, la RAP était motivée par la curiosité et la collaboration. Je m’attendais à acquérir des connaissances et une expérience pratique dans le domaine de la recherche. Cependant, ce que j’ai découvert était bien plus enrichissant.

En termes de préparation, je n’ai rien fait de spécial. Essentiellement, je me suis préparée mentalement à participer à la recherche, désireuse d’apprendre et de contribuer. La formation que j’ai reçue n’avait pas de prix, car elle couvrait non seulement la méthodologie, mais favorisait également la curiosité. Les sessions m’ont encouragée à poser davantage de questions et à approfondir les sujets que nous avons explorés.

J’ai participé à la recherche en tant que co-chercheur. Nos opinions ont été prises en compte dans chaque cours et nous avons apporté nos expériences scolaires au processus de recherche. Cette approche inclusive m’a donné l’impression de faire partie intégrante de l’équipe et, par conséquent, a renforcé mon engagement.

Il s’agissait de ma première expérience en matière de RAP, et elle n’a pas été sans difficultés. Au départ, il a été difficile d’approcher la communauté parce qu’elle savait que nous avions besoin d’informations de sa part. De plus, l’accès à l’information de la part de l’administration de l’école a été un obstacle important. En outre, il était pratiquement impossible de prendre des photos ou des vidéos de l’école, ce qui ajoutait encore à la difficulté.

L’une des leçons les plus précieuses que j’ai apprises est l’importance de la curiosité. Cette expérience a développé mon esprit critique et m’a appris à approfondir mes recherches. En outre, j’ai appris l’importance du travail d’équipe et la valeur de l’écoute des opinions des autres.

La relation entre les chercheurs et les participants était fondée sur le respect et le professionnalisme. Il y avait un sentiment d’amour et de compréhension mutuels qui a facilité une collaboration harmonieuse. Travailler en équipe dans ce contexte a été une expérience enrichissante, car les contributions de chacun ont été valorisées et intégrées dans la recherche.

L’aspect le plus gratifiant du processus de RAP a été de voir comment nos efforts collectifs ont fait la différence. Un moment particulièrement significatif a été celui où les membres de la communauté ont exprimé leur satisfaction de disposer d’une plateforme pour exprimer leurs préoccupations et leurs aspirations. Cette affirmation a souligné l’impact de notre travail.

Les plus grands défis ont été de gagner la confiance de la communauté, d’accéder aux informations de l’administration de l’école et de limiter la prise de documentation visuelle. Nous avons relevé ces défis grâce à une communication constante et à l’établissement de relations solides et respectueuses avec la communauté.

En conclusion, pour résumer mon expérience de la RAP, je dirai qu’elle m’a transformée. Elle a élargi ma perspective sur la recherche et l’engagement communautaire, en soulignant le pouvoir de la collaboration et l’importance de l’inclusion dans la création d’un changement durable. Ce voyage a renforcé ma conviction de l’importance de la curiosité et de la pensée critique dans le processus de recherche, ce qui me donne envie de m’engager dans de futurs projets de recherche-action participative.